Le 19 novembre 2021, le gouver­ne­ment a présenté au Parlement un projet de loi prévoyant l’introduction « d’un droit de mettre fin à sa vie de façon libre et auto­nome et de se faire aider, le cas échéant, par une tierce personne » pour « les personnes atteintes d’une maladie incu­rable entraî­nant la mort » ou celles souf­frant « d’une maladie grave et durable avec des symp­tômes persis­tants qui les affectent de manière perma­nente dans l’ensemble de leur quotidien ».