L’article 114 du code pénal suisse interdit l’euthanasie, mais le suicide assisté n’est pas interdit pour autant que l’assistant ne soit motivé par aucune raison égoïste.

En Suisse, il est également possible d’éviter un traitement et de recevoir des soins palliatifs, y compris une sédation palliative jusqu’au moment de la mort.

L’article 115 du Code pénal suisse détermine que lorsqu’une personne a des raisons égoïstes d’aider une personne, cette personne peut être punie pour assistance au suicide : Celui qui, pour des motifs égoïstes, aura aidé ou séduit une personne à se suicider, pourra, lorsque le suicide aura réussi, être puni de cinq ans d’emprisonnement ou d’une peine pécuniaire.